Petite discution plus que nésséçaire ! [Parker]

Je finissais assez rapidement ma clope et j'éteignais mon mégot. Bizarre elle ne me répondait pas violament. Je la regardais à la dérobé et dis simplement:

-Si j'étais vous, sa ferait bien longtemps que je cesserais de prendre tout les malheurs du monde pour ma pomme. Vous n'etes pas Atlas et vous n'avez pas à l'être à ce que je sache. Ce n'est pas en vivant part le biais des autres que l'on rencontre la joie, le bonheur et tout ces mots bien trop galvaudé. Un jour faudra bien que vous vous réveilliez de votre léthargie...

- Si je ne le fais pas qui s'en chargera ? Tu pense peut être que je pourai dormir tranquille la nuit en abandonnant toutes mes responsabilitées et par la même occasion tout ce pour quoi nous travaillons depuis des années ? Si quelqu'un doit se sacrifier autant que ce soit moi, je n'ai rien à perdre.

Je me remis debout sur la pointe de roc et commençai à marcher un peu dans un équilibre parfait. Quand on a plus peur de se blesser, le vertige n'existe plus.

-Il y aura toujours bien qui reprendra le flambeau... après si vous préfèré vous faire plaindre et passez à côté de votre vie ca devient un probleme d'ordre privè. Et vu que vous êtes ma supérieure je ne peu nullement m'en mellé.

Je souriais malicieusement, je l'avais amené sur un terrain glissant exprès. Soit elle continuait, soit elle s'énervait. Et les deux m'étaient bénéfique même si sur le moment quelqu'un d'éxterieur ne comprendrait pas mes motivations.

Le regard noir qu'elle me lança ne laissait plané aucune doute. J'avais touché le point sensible, je me retournais et la regardait s'installé. Je m'allumais une seconde cigarette et regardais se que son corps laissai entendre. Elle était déstabilisé et devait surement se sermoner mentalement, parfait.

-Je vois que mes paroles ne sont pas fausse... désolé de savoir la vérité. Quoique de votre part sa ne m'étonnerais pas que vous ne me croyiez pas. Après tout je ne suis que le petit gars prétentieux qui s'amuse dans sa vie, qui fou le bronx dans votre institut et qui arrive à vous faire vous rendre compte de comment est votre vie. Mais appart cela vous savez tout aussi bien que moi que je ne suis rien, mais voyez vous moi je suis déja cela. Il faudrait que vous appreniez à vivre...

- Ca suffit, sors d'ici je suis fatiguée. Je t'attends demain au bloc à 8h30 et ne soit pas en retard.

Ma voix était sèche presque cassante, il ne fallait pas abusé de ma patience. D'ailleur celle-ci était loin d'être infinie surtout avec ce genre d'individus.

Je sourit, ca a été plus simple que prévu, c'en était presque pas marrant. Je m'avançais dans le bureau, derriere le bureau de Heaven je pris un bic et notais sur un papier mon nom et mon prénom. Je le posais sur le bureau et en arrivant à sa hauteur je dis toujours en fumant:

-J'aime bien quand dans mon dossier on orthographie bien mon nom. Donc à demain, et n'oubliez pas de cauchemarder en pensant à moi... quoique si vous voulez rêvez de moi vous pouvez aussi..

J'arrivais à la porte et fis un signe en souriant malicieusement. Je savais donc déja à quoi je devais m'attendre de sa part, un fondateur en moins à comprendre. Il me restait le Aaron et peut-être d'autre qui sait? Je passais le pas de la porte et m'en allait me ballader dans cette immense institut.