Petite discution plus que nésséçaire ! [Parker]

Je poussai la porte de mon bureau et retirai ma blouse blanche pour l'accrocher à un petit porte-manteau en cuivre. En dessous je portais une petite jupe plissée bleu-vert et un petit chemisier noir. Je vins m'assoir derrière le grand bureau en Chêne massif devant la baie vitrée qui donnait sur le balcon.

-Alors commençons de puis le début, j'ai envie de comprendre. Quand es-tu arrivé et pourquoi ne t'es-tu pas présenté à un professeur dès ton premier jour ?

-Bhein je suis arrivé hier, j'ai rencontré Aurora, je ne savais pas qu'il fallait se présenté à un prof"... J'y peu rien si je sais rien.

Je souris sarcastiquement, je regardais la façons dont elle était habillé. Bizarrement elle s'habillais de façons pas trop moche ce que je n'aurais pas cru de la part d'une fondatrice. Je chassais cette pensée de mon esprit et sortais un paquet de cigarette de ma poche.

Je la regardais droit dans les yeux sans ciller.

-Personne, j'ai eu vent de cet endroit grace a quelqu'un comme nous... il est mort avant d'arriver ici. Je n'y croyais pas mais je l'ai tout de même suivis car j'étais traqué et qu'il m'aidait.

J'allumais ma cigarette et commencais à la fumer, je n'avais encore parlé de cela à personne. Mais là c'était le sérum qui allait m'échaper si je ne disais rien.

J'eu un leger rire avant de juste sourire.Je dis en me moquant encore:

-Sauf votre respect, deux semaines c'est bien peu pour moi... j'ai bien réussis à tenir deux ans je crois que j'ai tout de même encore de belle année devant moi.

Je tirais encore une taf sur ma cigarette puis cessant de sourire je me remis droit et je pris un air sérieux:

-Bon , sinon y à qui comme prof" a qui je peu me présenté?Ce serait pas plus facile si vous le faisiez en direct?

Je soupirai. Ce gamin avait le don de me tapper sur les nerfs !

- Le dortoir est au premier étage de l'aile Sud. Concernant le règlement, tu es obligé de te présenter en cours 4 jours par semaine et en entrainement deux à trois fois par semaine. Tu n'as pas le droit d'utiliser tes pouvoirs sur quelqu'un d'autre en dehors de ses entrainements et les bagares sont interdites. Aucunes drogues et on ne sort pas de l'institut. Tu te dois aussi d'obéir aux proffesseurs et aux préfets. Présente toi à Aurora demain et elle te donnera un horraire celon les cours que tu choisira. Voilà c'est simple et si tu fais un petit effort ce n'est pas si dur à respecter.

Je la regardant en soupirant, je pris une mine boudeuse et dis:

-Relou... on est vraiment obligé d'allé en cours? J'y ai jamais été de ma vie, et ca c'est vrai.

Je souris, pour une fois que je disais la vérité... c'était peut etre cool les cours dans le fond... n'importe quoi qu'est-ce que tu dis comme connerie Parker!

Je réfléchis quelques instants, il est vrai que les cours ne seraient surement pas de son niveau.

-Si tu remplis toutes les autres conditions, je veux bien te laisser travailler avec moi. Mais ça veut dire aussi bien au labo qu'au bloc oppératoire ou dans mon bureau et pas forcément sur le sujet qui t'intéresse. C'est ça ou tu prends sur toi et tu vas en cours.

Je fis une petite mise en scene gardant mon air de chien battu. J'attrapais mon collier et le relevais pour faire comme si on me tirait avec une laisse.

-Soit je dors en cours, soit vous me mettez la laisse au cou?!

Je lachais mon collier et souris, ca devait tout de même être plus joyeux de travaillé avec elle. De plus elle n'était pas mal foutu, par contre une question me turlupinais tout de même.

-Donc je devrais travaillé à vos heures, en vous aidant et toujours accompagné de vous?

- Pour l'instant oui. Et estime toi heureux que je ne t'aie pas déjà expulsé à coups de pieds au cul !

Je m'autorisai un demi-sourire puis me levai pour ranger quelques livres qui trainaient sur le bureau, me hissant sur la pointe des pieds pour atteindre les étagères les plus haute de la grande bibliothèque en verre.

Je me mis à rire, je l'imaginais mal m'expulser a coups de pieds au cul. Je m'approchais lui attrapais le livre et le déposais aisaiment sur l'armoire. J'étais tout de même un peu plus grand qu'elle,je restais avec le bras tendus jusqu'à la bibliotheque et la tete penché vers elle. J'eu un sourire assez craquant et je baissais mes yeux pour atteindre les yeux.

-Mais nous savons tout les deux que vous m'aimez trop pour le faire... sinon je ne serais déja plus dans ce bureau...

Je souris, légèrement ironique et le repoussai légèrement.

- Arrête ton numéro de play-boy des bacs à sables ça ne marches pas avec moi.

-Je ne fait pas un numéro, sinon vous seriez déja sous le charme.

Je continuais de sourire et me reculais, j'avisais une chaise en face de son bureau et m'asseillais dessus. J'attrapais un biblot et le regardais sous tous ses angles, le secouant au passage.

-Sinon vous travaillé principalement sur quoi? La végétation est déja vivante mais peu vivace, peut etre un moyen d'éradiquer la faim dans le monde?

Demandais-je ironique, sa me faisait rire en quelque sorte. En tout cas si c'était pour un truc comme sa je démissionne, oui oui même si je ne suis pas payé.

- La modestiec'est vraiment pas ton fort à ce que je vois ! Et laisse ça c'est fragile !

Dis-je en lui retirant le biblo des mains pour le reposer sur l'étagère.

- Crois-tu vriment que je suis stupide à ce point ?? Tu débarques d'on ne sait où, personne ne te connais et tu fouille mon labo dés ton arrivée. Je devrais te faire une entière confiance et te révêler tous nos travaux peut être ?

Je ris lorsqu'elle m'aracha le biblo des mains, je finis par laisser mes levres s'étirer en un sourire carnassier et je répondais normalement.

-Je viens plus précisement d'un voyage autour de la planete. Faut dire je ne connais personne non plus, je ne fouillais pas à juste titre j'étais entrain de visiter mon ancien demeure... en tout cas la copie et pour finir je ne veu pas une entière confiance ni qu'on me dise tout les secrets de cette institut... mais juste savoir sur quoi je vais devoir travaillé, là est toute la nuance.

Je finis en riant, il y avait de forte chance pour qu'elle me prenne pour un mythomane ou juste un menteur mais je m'en fichais.

- Je me fous bien de ce que tu VEUX, tu verras quand tu y seras, là est toute la nuance.

Je retournai vers la baie vitrée pour l'ouvrir en grand et sortir me percher sur la balustrade du spacieux balcon.

Je ris légerement puis allais a la balustrade a mon tour me penchant à coté d'elle.

-Et sinon j'ai le droit de savoir ce que vous voulez? Vu qu'on ce fou de ce que je veux...

Je souris en tournant ma tete vers elle un sourire malicieux sur les levres.

- Je veux beaucoup de choses ... D'abbord je veux que cet institut reste paisible, un refuge pour ceux de notre espèce. Je veux aussi faire de mon mieu pour arrêter les massacres à l'extérieur, rendre les gellules de transmutation moin douloureuses ou encore faire que chacune des personnes ici se sente chez lui !

Je ne voyais même pas pourquoi je continuais de discuter avec lui, j'aurais du le congédier il y a déjà un moment.

Je sortais mon paquet de clope et en mis une dans ma bouche avant de dire:

-Que de désire noble, à ce que je vois quand on est au sommet on ne peu même plus pensé à soi. Je préfère dans ce cas resté tout en bas, et profité de la vie.

Je commencais sérieusement si ce que j'avais dis peu avant pour l'ennuyer n'était pas vrai. Pourquoi est-ce qu'elle ne m'avait pas déja chassé de son bureau? C'était une bonne question, mais autant en profité.

-Tu passe ton temps à ne penser qu'à toi, c'est donc logique que tu ne puisse pas comprendre qu'on se dévoue pour les autres. Tu me fais beaucoup pensé à Aaron il y a quelques années. Lui a évolué et j'espère te voir faire de même.

Je soupirai avant d'enjamber la rambarde. Je me retrouvai sur l'étroit rebord en pierre et avançai sans aucune prudence sur une des longues pointes sculptée dans le roc pour m'assoir au bout de celle-ci. Rejettant la tête en arrière pour sentir le peu devent artificiel que nous avion ici, créé grace à des courant d'air.

-Si vous aviez vécu ma vie vous me comprendriez, mais je ne suis pas là pour de la pitier.

J'allumais enfin ma cigarette et je regardais encore la vue qu'y s'offrait à moi. Je ressemblais donc à ce type, hum pas cool.

-Puis quitte à passé ou à être égoiste autant profité et je préfere vivre ma vie qu'être aussi malheureux que vous. J'ai appris qu'il valait mieux vivre au lieux de survivre.

-Il est vrai que je ne connais rien de votre vie, mais le caractére se forme par rapport aux choses qu'on à vu et vécu. De plus lorsque je vous vois, rien ne me fait pensé à une personne heureuse.

J'avais cessé de sourire, je continuais de fumé toujours à regardé le décors qui se trouvait autour de moi. J'avais parfois l'impréssion de joué dans un film, tout était fait pour vivre mais tout était comment dire... la lumière, le vent, toute ces choses avait été copié de la surface. Et moi ce que je voulais c'était vivre une vrai vie entourré de vrai chose, je ne voulais pas de ses substitut, je voulais les originaux.